What is God?

First of all, let's note that no one has direct access to God. So let's look at the problem the other way round.

The astonishing answer is: modern science, or more exactly the laws that it observes in mathematics, physics, etc.
Indeed, these are the closest to our idea of \u200b\u200bGod:
. .

From there, the search for God, a fundamental element of the monastic approach, should have been recast following the emergence of the modern scientific method in the 16th or 17th century. Sous cette forme, l'équivalence avec la non-dualité Bouddhiste est frappante : s'en tenir à ce qui est, et non ce que l'on voudrait qui soit. C'est à dire vaincre l'ego. C'est à dire se défaire de l'ambition sociale, dont nous avons vu qu'elle constitue l'un des deux éléments principaux de nos comportements problématiques hérité de la génétique. Par cette démarche, on se libère des conséquences négatives de l'ambition sociale, à savoir la violence sociale, et l'on retrouve ainsi la notion d'amour si chère aux chrétiens.

Be careful though: love is a consequence of ego control.

Deepen

Our proposition is not very far from those of philosophers who equate God with causality.

 

2022-07-10 09:08:47 Cyril God \u003d causality or finality?

Certains philosophes - notamment scientifiques - assimilent au contraire Dieu à la finalité, laissant la causalité à la science. Un des débats les plus ardents a eu lieu au siècle des lumières entre les tenants du principe de moindre action (Fermat, Maupertuis, Euler, Lagrange) , si fécond en science, et pourtant sans explication de causalité, et les cartésiens, qui bien que Descartes n'imagine pas un monde sans Dieu, n'acceptent pas pour autant les causes matérielle, formelle et finale pour ne retenir que la cause efficiente d'Aristote dans la Méthode.

Les principes variationnels stipulent que les trajectoires sont telles qu'une certaine quantité, intégrée sur la trajectoire, soit extrémale. Par exemple, pour Fermat, la lumière emprunte entre deux points le chemin de moindre temps. La beauté des équations simples obtenues, est qu'elles permettent la prédiction de phénomènes avec beaucoup de précision. Lagrange, en minimisant l'action, retrouve les équations de Newton. Ce qui gêne les cartésiens, est qu'aucune explication causale ne les justifie, ce qui semble avoir des relents de cause finale.

La mathématisation de la physique permise par les travaux d'Hamilton puis Jacobi à la suite de Lagrange, ont permis à Schrödinger d'établir sa célèbre équation fondant la mécanique quantique, à Louis de Broglie d'établir l'équivalence onde-particule, et a ouvert la voie aux intégrales de chemin de Feynman. La théorie physique moderne, si précise et jamais mise en défaut depuis cent ans, est basée sur des équations qui "fonctionnent" mais que nous ne comprenons pas...

Mettre Dieu d'un côté (causalité) ou de l'autre (finalité), ou des deux, ne change rien à la méthode scientifique, et on est tenté de simplement l'enlever de l'équation, et de déclarer comme l'aurait dit Laplace : "Je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse" ;)

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